Les hommes ont un risque de maladies cardiovasculaires plus tôt dans la vie. Or, chez les femmes, le risque s’accroît après la ménopause et les symptômes de crise cardiaque sont différents et peuvent passer inaperçus. Quant à la maladie vasculaire périphérique (MAP), on pensait historiquement que la prévalence était plus importante chez l’homme par rapport à la femme. Or, des études populationnelles ont montrés que la prévalence serait presque équivalente, voire même plus importante chez les femmes après l’âge de 70 ans.